Exposition de la Série « Jumeaux » d’Heidi Lunabba (FIN), Insitut finlandais avec Sabine,
au 60 rue des écoles dans le Vème arrondissement, Paris, le mardi 19 juin, à 19 heures.
En photographiant des jumeaux, l’un habillé et posant comme une fille et l’autre comme un garçon, la photographe Heidi Lunabba a voulu démontrer que le genre masculin/féminin était essentiellement codifié et culturel ; que la nature ne l’était pas.
Certaines photos furent convaincantes, d’autres beaucoup moins.
Exemple de photo peu convaincante (le garçon de droite fait juste efféminé, mais en aucun cas on ne le confond avec une fille), mais ma préférée :
Photo mise en avant pour l’exposition (où Sab trouve que la petite devant, même si elle joue le gars fait définitivement trop féminine –moi je la trouve juste trop mignonne- donc la démonstration tombe à l’eau) :
Exemple de photo peu convaincante :
Exemple de photo que Sabine a trouvé convaincante (moi pas : je trouve que l'autre fait juste "garçon manqué" et ça ne me perturbe pas) :
Exemple de photo dont nous déplorons toutes deux la sexualisation précoce de l’enfant en tant qu’objet :
Exemple de photo cliché inutile à la démonstration mais mignonne et rigolote :
Photo de groupe (où Sab a confondu un petit garçon (le bouboule) avec une fille) :
La seule photo que j’ai trouvée vraiment perturbante, je ne l’ai pas trouvée sur Internet et je n’avais pas mon appareil photo le jour de l’expo. C'est celle d'une paire de jumeaux garçons devant le métro parisien.
Ma deuxième photo préférée (après celle de la serre), est celle d'une photo de groupe dans le métro dont une paire de jumeaux black.
Conclusion perso : Nous remarquerons qu'une fille en garçon manqué ne choque personne, mais qu'un garçon habillé en gay prématuré, ça risque de perturber beaucoup de parents (à moins que le père ne soit déjà lui-même un métrosexuel urbain fini).
au 60 rue des écoles dans le Vème arrondissement, Paris, le mardi 19 juin, à 19 heures.
En photographiant des jumeaux, l’un habillé et posant comme une fille et l’autre comme un garçon, la photographe Heidi Lunabba a voulu démontrer que le genre masculin/féminin était essentiellement codifié et culturel ; que la nature ne l’était pas.
Certaines photos furent convaincantes, d’autres beaucoup moins.
Exemple de photo peu convaincante (le garçon de droite fait juste efféminé, mais en aucun cas on ne le confond avec une fille), mais ma préférée :
Photo mise en avant pour l’exposition (où Sab trouve que la petite devant, même si elle joue le gars fait définitivement trop féminine –moi je la trouve juste trop mignonne- donc la démonstration tombe à l’eau) :
Exemple de photo peu convaincante :
Exemple de photo que Sabine a trouvé convaincante (moi pas : je trouve que l'autre fait juste "garçon manqué" et ça ne me perturbe pas) :
Exemple de photo dont nous déplorons toutes deux la sexualisation précoce de l’enfant en tant qu’objet :
Exemple de photo cliché inutile à la démonstration mais mignonne et rigolote :
Photo de groupe (où Sab a confondu un petit garçon (le bouboule) avec une fille) :
La seule photo que j’ai trouvée vraiment perturbante, je ne l’ai pas trouvée sur Internet et je n’avais pas mon appareil photo le jour de l’expo. C'est celle d'une paire de jumeaux garçons devant le métro parisien.
Ma deuxième photo préférée (après celle de la serre), est celle d'une photo de groupe dans le métro dont une paire de jumeaux black.
Conclusion perso : Nous remarquerons qu'une fille en garçon manqué ne choque personne, mais qu'un garçon habillé en gay prématuré, ça risque de perturber beaucoup de parents (à moins que le père ne soit déjà lui-même un métrosexuel urbain fini).
