Un blog pour se remuer les neurones et se secouer les fesses !
Un blog pour encourager tous ceux qui n'ont pas envie de se laisser aller avec non-garantie de succès, ni pour eux, ni pour moi-même. ;-)

jeudi 5 avril 2018

CONFERENCE SUR LA CONSCIENCE IMAGEANTE SELON SARTRE, DE J-F RIAUX, AU PAVILLON DU CARRE BAUDOIN, LE 5/04/2018.

Conférence sur la conscience imageante selon Sartre, de Jean-François Riaux, le jeudi 5 avril 2018 au Pavillon du Carré Baudoin.
I- ou II * LA CONSCIENCE IMAGEANTE SELON SARTRE : L’IMAGE VERSUS LE RÉEL.

Madame Bovary, Flaubert, 1957.
Cette représentation de Mme Bovary est idéale selon moi et seule une collection jeunesse y a pensé, bravo ! Je suggère à une collection adultes, moi, K@m la Killeuse, un tableau tel que "La lectrice soumise" de René Magritte (1928) ou pour être plus proche du XIXème, un portrait en effet de femme lisant mais en NB. http://artmic.eklablog.com/les-femmes-et-la-lecture-dans-la%E2%80%A6


 (*30 mn de retard à cause d’un rendez-vous avec un parent et un élève qui ne sont pas venus et que j’ai attendus jusqu’à 18 heures...Trente minutes durant lesquelles il était apparemment question de Madame Bovary, aliénée par son imaginaire, sujet qui m’intéresse particulièrement puisque je voudrais travailler sur la capacité et le pouvoir de l’illusion littéraire à modifier le réel ou le Syndrome de Don Quichotte, sachant que Madame Bovary est une réécriture de Don Quichotte.
https://www.universalis.fr/encyc…/imaginaire-et-imagination/
http://apprendre-la-philosophie.blogspot.fr/…/imagination-e…
http://obvil.sorbonne-universite.site/corpus/critique/gaultier_bovarysme
https://www.ebook-gratuit.co/gustave-flaubert-madame-bovary-epub-pdf/
http://www.theatre-bastille.com/saison-12-13/les-spectacles/bovary_2
(Déçue d'avoir raté cette pièce parce que je devais recevoir des personnes chez moi le dernier jour de représentation (le 28 mars 2018 au Théâtre Bastille), Aïcha est allée la voir et l'a trouvée intéressante).
*L’imagination est une capacité de retrait, de soustraction au réel.
Capacité d’oubli de ce qui est perçu (par les sens).
Nous sommes là mais ailleurs.
Husserl : réduction phénoménologique.
Nous avons une vie mentale active.
Ex : regard vide d’un individu dans transports en commun signifie qu’il se trouve ailleurs.
http://psychanalyse-paris.com/Reel-imaginaire-et-symbolique…
http://philo-paris.com/…/le-7-aout-2011-le-debat-sera-anim…/ (j’aime beaucoup l’intervention du dernier participant, Nicolaï : « Je dirais, pour tenter de synthétiser : La réalité est l’ombre portée du réel sous le soleil de la perception ».
Comment se produit l’image mentale (selon Sartre) ?
*de façon immédiate.
Ex : Monument connu (ex du Panthéon de Sartre repris à Alain), personnage célèbre, etc.
Le mot précède l’image immédiate.
*toutefois, distinction entre mots simples et représentations plus complexes.
Ex : Atome. Je rajoute : les graines des végétaux.
Microscopic seeds, Photographer : Ms. Yanping Wang.
Photographer : Rob Kesseler, UK, 2014.
https://insteading.com/blog/microscopic-images-seeds/…
*Distinction entre image réelle différente d’une image mentale.
Ex : On peut se représenter une personne absente de la photo ou penser à des choses au-delà de l’image.
La Trahison des Images, René Magritte, Bruxelles, 1929.                                                                            «La fameuse pipe, me l'a-t-on assez reproché !, expliquait Magritte en 1966. Et pourtant... pouvez-vous la bourrer, ma pipe? Non, n'est-ce pas, elle n'est qu'une représentation. Donc, si j'avais écrit sous mon tableau «Ceci est une pipe», j'aurais menti.» Un objet représenté est pris pour la chose elle-même alors qu'en réalité elle n'est qu'une image. https://yoannhervey.com/2015/09/08/ceci-nest-pas-un-article-a-propos-de-ceci-nest-pas-une-pipe-de-michel-foucault/  Ceci n'est pas une pipe : sur Magritte, publié en 1973 aux éditions Fata Morgana ici : https://monoskop.org/images/9/99/Foucault_Michel_This_Is_Not_a_Pipe.pdf
"UNE CARTE N'EST PAS LE TERRITOIRE", Alfred Korzybski, 1933.
http://www.lyber-eclat.net/lyber/korzybski/preface_editeur.html
https://fr.wikipedia.org/wiki/Alfred_Korzybski
https://www.capitalrh.fr/La-carte-n-est-pas-le-territoire-_a81.html 
La Clé des Songes, René Magritte, Bruxelles, 1927.                                                                                         Ce que j'aime dans ce tableau, c'est que le ciel, on l'enferme dans un sac mystérieux, que la liberté de l'oiseau, on la coupe (ses ailes) = ambiance de polar et que derrière la table, on n'oublie pas l'arbre dont elle est fabriquée de même pour l'éponge même si c'est le seul élément qui semble "correct" sur le fond et la forme : on a tendance à oublier qu'"une éponge de mer naturelle", c'était à la base un ANIMAL vivant. Saviez-vous que les éponges de mer étaient les plus vieux animaux sur terre ? https://www.sciencesetavenir.fr/sciences/parmi-les-animaux-vivants-l-eponge-de-mer-est-notre-plus-ancien-ancetre-etude_118779  
Le Miroir vivant, René Magritte, 1928.                                                                            http://documents.irevues.inist.fr/bitstream/handle/2042/34531/ANM_2008_125.pdf?seq
La Clé des Songes (n°2), 1930.                                                                                                                 Ambiance Cluedo ! "Grand lecteur de Stevenson, adorateur de Poe (qui ressentait comme lui une prédilection pour le mystère, dut-il surgir de situations banales, mais toujours inattendues) et de Lautréamont dont il illustrera Les Chants de Maldoror, Magritte s’engagera de plus en plus dans la « recherche systématique d’un effet poétique bouleversant qui, obtenu par la mise en scène d’objets empruntés à la réalité, donnerait au monde réel à qui ces objets étaient empruntés, un sens poétique bouleversant par un échange tout naturel . http://samuelmenetrier.blogspot.fr/2007/01/analyse-de-la-clef-des-songes-de-ren.html  
*Distinction entre chose réelle et perception.
Étant donné que chaque angle donne une perspective différente du réel sans compter l’état d’esprit dans lequel l’individu se trouve au moment de sa perception. Autant de perceptions singulières/différentes que d’individus. Cela me fait penser à La Modification parce que dans ce roman, le personnage principal est dans un train et imagine ce que pense chaque personne autour de lui qui devient alors un pur personnage fictif issu de son imagination : J'ADORE. Lorsque je le fais dans les transports moi-même, je pense à lui (au roman).

La Modification, Michel Butor, 1957, Éditions de Minuit (nouveau roman).
*“Le champ du réel déborde/dépasse toujours le champ de l’expérience (limitée) et la conscience d’un individu ». 
Ce n’est pas à partir de la conscience imageante qu’on peut en déduire le réel, autrement dit des connaissances objectives.
Selon Sartre, « Nous ne pouvons pas apprendre plus que ce que nous savons déjà » (à partir de sa conscience imageante, d’une image mentale).
Réflexion perso : je me suis tjrs demandé si on pouvait apprendre des choses qu’on ne savait pas (en tant que connaissances du réel) grâce à ses rêves mais je n’ai jamais eu l’occasion de vérifier car j'ai toujours oublié de noter ce que j'avais cru apprendre. Énervant. Normalement non mais j'ai eu souvent l'impression d'apprendre des choses que je ne savais pas pendant que je rêvais.
*L’image n’est pas figée : on peut animer une image mentale par des éléments et des événements imaginaires.
Sartre parle de « ductilité », la propriété (ici de l’image) à s’étirer sans se rompre.
https://www.futura-sciences.com/sciences/definitions/physique-ductilite-2074/
http://www.24-carats.fr/ductilite.html
*L’affadissement des images : telle image peut nous inspirer à une époque de notre vie et plus à une autre.
Photo mise par défaut parce qu'elle me fait rire aussi. J'aurais voulu mettre des photos de la Cité internationale, du quartier de l'Opéra, du Panthéon, de Ménilmontant (et plus précisément d'un banc, de la rue Boyer et de la piscine Alfred Nakache), de Paris III, etc. etc. Mon amour pour Paris est infini. J'ai habité le Vème, le VIIème (à la frontière du VIème), le VIIIème, le XIème (à la frontière du XXème), le XIIIème, le XIVème, le XVIIIème et enfin, le XXème (à la frontière du XIXème).
Ex perso : Chaque quartier de Paris où j'ai aimé m'évoque une personne et des souvenirs, donc des images, qui s'y rattachent. La Cité internationale (je ne pense plus au passé à chaque fois que j’y vais donc je ne pleure plus de nostalgie). Le quartier de l’Opéra (j’y ai caressé les fesses de Pierre une centaine de fois et nous avions toujours rendez-vous devant la boutique de bijoux Maty, à l’angle). Du Panthéon (j’ai habité rue de l’école polytechnique juste à côté), etc. J’ai déjà écrit à ce sujet.
*La conscience imageante est une « totalité irréelle », qui traduit l’intention d’un sujet, sa visée intentionnelle.
Formule sartrienne : une conscience imageante « irréalise » le réel. C’est le point qui m’intéresse le plus, évidemment.
« Faire comparaître l’image d’une chose devant soi pour la posséder » afin...de ne pas la posséder vraiment et fuir les difficultés réelles de la posséder. 
Se donner des choses à soi-même afin de compenser la réalité (Sartre/Freud : fantaisie/fantasmes, etc.).
Ex auquel je pense : dans Gros-Câlin de Romain Gary, le personnage principal s’invente une histoire d’amour avec sa collègue (comme Don Quichotte et sa Dulcinée).
Freud : Artistes et « fous », etc.
Alternatives au réel pour le fuir (adversité, altérité, difficultés, etc.).
En conclusion, Sartre dévalorise beaucoup les images créées par la conscience imageante.
II ou III– LIMITES ET CRITIQUES DU POINT DE VUE DE SARTRE : L’IMAGE FABRIQUÉE DÉPASSE L’INTENTION DU SUJET.
Il ne s’intéresse pas à l’image poïêtique (du grec poíêsis), autrement dit créée, fabriquée, comme la photographie par ex. Fabrication d’images.
*L’image produite dépasse le champ de la perception : l’image montre plus que ce que nous savons. Parfaitement d'accord ! C'était un de mes objets dans mon projet de thèse sur le Syndrome de Don Quichotte.

*Selon Riaux, Sartre ne tient pas assez en compte l’apport sur le réel de l’image fabriquée et particulièrement la photographie.
Ainsi, dans une photo prise sur le vif, nous pouvons avoir des éléments nouveaux sur le réel.
Ex 1. Doisneau.
Le Baiser de l'Hôtel de Ville de Robert Doisneau, Paris,1950.
http://www.lemonde.fr/idees/article/2005/05/06/le-douloureux-baiser-de-robert-doisneau_646820_3232.html

Ex.2 : Ronis.
Les Amoureux de la Bastille de Willy Ronis, Paris, 1957.
http://www.polkamagazine.com/raconte-moi-une-image-les-amoureux-de-la-bastille-de-willy-ronis/
Marché aux Puces de Vanves, Willy Ronis.
Place Vendôme, Willy Ronis, 1947.
Lorraine Hiver 1954, Willy Ronis.
https://www.la-croix.com/Culture/Expositions/Willy-Ronis-160-photos-dune-oeuvre-humaniste-2016-12-12-1200809894

*Chronophotographie.

"Cavalier arabe" d’Etienne-Jules Marey, 1887.
 https://www.histoire-image.org/fr/etudes/decomposition-mouvement

"Chronophotographie du coureur" de Georges Demeny, 1902-1907.
https://www.histoire-image.org/fr/etudes/sport-photographie-scientifique

*La photo instantanée implique la surprise, le hasard, l’accident.
Ex : Duchamp. Dadaïstes, surréalistes, etc.

Film : "Blow-up" d’Antonioni, 1966.
https://www.lesinrocks.com/…/debat-en-quoi-blow-dantonionn…/#
http://www.liberation.fr/…/blow-up-revu-et-inacceptable_161…
Un souvenir de lecture m'est revenu : une nouvelle de Julio Cortazar dont j'ai fait un résumé sur ce blog même. Je fais des recherches pour retrouver son titre dans une autre fenêtre et que lis-je sur Wikipédia (article : Les Armes secrètes, titre du recueil de 1959) ??? Que Blow-up d'Antonioni lui a été inspiré par..."LES FILS DE LA VIERGE" de JULIO CORTAZAR ! De verdad ! Incredible !
https://lirepourecrire.wordpress.com/2012/05/10/julio-cortazar-fils-vierge/
http://www.nuagesetvent.com/article-18408717.html
La nouvelle intégrale ici (merci à son transcripteur) : http://baisers.free.fr/cortazar.html

Julio Cortazar = mon amie andalouse Sira. De la Cité internationale. C'est elle qui m'a fait découvrir cet auteur argentin sur lequel j'ai voulu faire un mémoire de Littérature comparée pour pouvoir travailler à Buenos Aires. Je ne l'ai hélas jamais fait. La bibliothèque de la Maison d'Argentine de la CIUP porte désormais son nom.


Les Armes secrètes de Julio Cortazar, 1959.
Ce qui est encore plus étonnant (mais cela ne l'est pas), c'est que dans mon compte-rendu de lecture ci-dessous, je dis que la nouvelle "Les Fils de la Vierge" me fait penser à La Modification de Butor !
http://leszobjektifsdekamlakilleuse.blogspot.fr/2010/11/les-armes-secretes-julio-cortazar-1958.html?zx=7a526f46803ba589

*Distinction entre photographie instantanée et photographie posée.
Un bon portrait représente le caractère, l’identité d’un individu perçu par le photographe.


Ex : Portrait de Baudelaire (avec un cigare) par Nadar.
http://viedelabrochure.canalblog.com/archives/2016/09/25/34365319.html
*Un photographe, à partir de ses propres photos, peut en apprendre davantage sur le réel que son intention initiale contrairement à ce qu’affirme Sartre. L’image fabriquée n’est pas un monde clos sur lui-même.
Conclusion/ouverture : à propos du sujet par rapport à l’image.
1.Mode de production.
Ex : Échographie. Mère obligée de solliciter les explications d’un expert.
On peut soi-même ne pas comprendre une image qui a été prise de soi. Dépendance de la médiation d’autrui en ce qui concerne l’image fabriquée.
2.Authentification.
La petite fille brûlée au napalm au Vietnam, 1972.
Ex 1 : petite fille vietnamienne courant sur une route, la chair brûlée par le napalm.
Cette image agit sur la conscience collective. Pouvoir dangereux car véhicule des idées fausses.
« Le 8 juin 1972, c’est en fait l’aviation sud-vietnamienne qui a bombardé le secteur de Trang Bang, persuadée que des Viêt Minh s’y cachaient ».
Source http://zigzags.blogs.lindependant.com/la-petite-fille-au-napalm-a-40-ans-decryptage-d-une-image-qu.html
Travail remarquable d'un collègue d'histoire pour l'épreuve de l'Histoire des Arts :
http://histege.over-blog.com/article-la-petite-fille-brulee-au-napalm-1972-histoire-des-arts-3e-104744258.html

Ex 2 : Jorge Semprun : résistant. L’écriture ou la vie. Camp de Buchenwald. Dit qu’il est obligé de voir des photos pour être sûr d’avoir vécu des choses aussi horribles. Violence qui lui était étrangère. Lui a permis d’authentifier son vécu et son expérience désormais objectivés mais aussi de se sentir moins seul puisqu’il peut partager ce qu’il a vécu à travers ces photographies.
https://fr.wikipedia.org/wiki/L'Écriture_ou_la_Vie
https://www.babelio.com/li…/Semprun-LEcriture-ou-la-vie/6516
https://fr.wikipedia.org/wiki/Jorge_Semprún

Musée Reina Sofia, Madrid, où Sira étudiait la phénoménologie, 2010.

Ex 3 : Guernica de Picasso : authentification du réel initialement à partir d’une photo également.

Une photo en amenant une autre, mon règlement de comptes avec Don Quichotte/Don Quijote chez lui, à Alcala de Henares et où...Sira vivait à l'époque, en 2010.
3.Interprétation.
Ex 1.
“Le Radeau de la méduse” de Théodore Géricault, Paris, 1818-1819.
https://culturebox.francetvinfo.fr/arts/peinture/le-radeau-de-la-meduse-la-veritable-enquete-policiere-de-gericault-242167
 Ex. 2.
Ces deux tableaux cultes sont perçus différemment selon les idéologies dominantes et les époques.
Ex 3 : 

« Gun » de William Klein, New-York, 1955.
Photo d’un enfant jouant avec une arme en joue instrumentalisée par ceux qui voulaient dénoncer la délinquance aux États-Unis alors que ce n’était pas l’intention initiale de Klein, à son plus grand désespoir.
https://www.metmuseum.org/art/collection/search/265062
https://www.artsy.net/…/william-klein-gun-2-new-york-city-n…
http://www.polkagalerie.com/…/william-klein-travaux-new-yor…
http://eenbee.typepad.com/visualdelig…/…/galliano_klein.html

Le terminus (de la gare à chevaux), Alfred Stieglitz, New-York, 1893.
 *Coup d’envoi de la photographie esthétisante.
Premier grand cliché esthétique de l’histoire selon notre conférencier.
https://www.metmuseum.org/toah/works-of-art/58.577.11/
http://www.thestoryweb.com/stieglitz/
https://www.britannica.com/biography/Alfred-Stieglitz…
https://www.artsy.net/artwo…/alfred-stieglitz-the-terminal-1

Roland Barthes l’évoque dans La Chambre claire, Note sur la photographie, 1980.
Rien à voir mais j'adore et suis triste que ce portrait de Barthes ait été choisi.
http://www.jgypk.hu/…/tana…/A_francia/la_chambre_claire.html
https://monoskop.org/…/Barthes_Roland_La_chambre_claire_Not…

*Allusion à Edith Warthon, romancière américaine ? (Ou j’ai mal entendu).
Merci à l’intervenant, Monsieur Jean-François Riaux, un conférencier qui a la générosité de fournir des documents par mail à tous ceux qui le souhaitent (n'ai encore rien reçu car je n'ai pu assister à toutes ses conférences précédentes) :
https://www.collegedesbernardins.fr/int…/riaux-jean-francois

Je dédie ce compte-rendu à mon amie Sira, brillante chercheuse espagnole diplômée de l'EHESS et de l'INALCO ayant obtenu une des dix bourses nationales de recherches au CSIC (Consejo Superior de Investigaciones Cientificas), l'équivalent de notre CNRS, à Madrid en 2010, ayant repris sa thèse au Maroc.
Sira, brûlant ses cours sur la phénoménologie, dans le quartier de Lavapiès, Madrid, 2010.







IMAGES PERSONNELLES DE PARIS.

Yossef, 29 rue Boyer, Ménilmontant, 75020 Paris.

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