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jeudi 12 janvier 2012

Casablanca, de Michael Kurtiz avec Humphrey Bogart et Ingrid Bergman, 1942 (USA).



**** : Très bien.

L’intrigue : L’histoire se passe à Casablanca au moment où tous les Européens fuient l’occupation nazie en Europe pour Lisbonne, dans le but d’aller aux Etats-Unis. Mais nombre d’entre eux se retrouvent sans visa et sont bloqués à…Casablanca, en territoire français.
Rick (Gary Cooper), un américain amer, tient un bar où son vieux compagnon de route, Sam, noir américain, joue du piano et chante, au plus grand plaisir des clients. Dans ce bar, des négociations de visa se passent tous les jours entre la police incarnée par un chef corrompu, Renault, et des civils.
Un jour, un homme louche se fait tuer et avait en sa possession deux précieuses lettres de transit que prend Rick.
Un soir, la femme qui est à l’origine de l’amertume de Rick (Ingrid Bergman) débarque par hasard avec son mari, un éminent chef de la résistance tchèque, Victor Lazlo. Rick en veut toujours à cette femme qui est à l’origine de toute sa tristesse, or ils ont besoin de ces deux lettres de transit absolument…
Histoire d’amour et idéaux politique sont alors en jeu.

Conclusion : C’est un film en noir et blanc qui lie action et histoire d’amour, un excellent divertissement. La scène de La Marseillaise est très émouvante. Gary Cooper ne correspond pas aux canons de beauté actuels mais a un charisme viril de l’époque dont sont dénués la plupart des acteurs d’aujourd’hui. Ingrid Bergman, de même, version féminine. Il fait partie des trois meilleurs films américains avec Le Parrain et Citizen Kane selon l’American Institute Film.