**** : Très bien.
L’intrigue : L’histoire se passe à Casablanca au moment où
tous les Européens fuient l’occupation nazie en Europe pour Lisbonne, dans le
but d’aller aux Etats-Unis. Mais nombre d’entre eux se retrouvent sans visa et
sont bloqués à…Casablanca, en territoire français.
Rick (Gary Cooper), un américain
amer, tient un bar où son vieux compagnon de route, Sam, noir américain, joue
du piano et chante, au plus grand plaisir des clients. Dans ce bar, des
négociations de visa se passent tous les jours entre la police incarnée par un
chef corrompu, Renault, et des civils.
Un jour, un homme louche se fait
tuer et avait en sa possession deux précieuses lettres de transit que prend
Rick.
Un soir, la femme qui est à l’origine
de l’amertume de Rick (Ingrid Bergman) débarque par hasard avec son mari, un
éminent chef de la résistance tchèque, Victor Lazlo. Rick en veut toujours à
cette femme qui est à l’origine de toute sa tristesse, or ils ont besoin de ces
deux lettres de transit absolument…
Histoire d’amour et idéaux politique
sont alors en jeu.
Conclusion : C’est un film en noir et blanc qui lie action et
histoire d’amour, un excellent divertissement. La scène de La
Marseillaise est très émouvante. Gary Cooper ne correspond pas aux canons de
beauté actuels mais a un charisme viril de l’époque dont sont dénués la plupart
des acteurs d’aujourd’hui. Ingrid Bergman, de même, version féminine. Il fait
partie des trois meilleurs films américains avec Le Parrain et Citizen Kane
selon l’American Institute Film.
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